Le bar

(( Bon, je sais pas si Ulqui participera toujours, mais en tout cas, je dis rien sur son perso ))

La jeune snipeuse était à quelques mètres des portes de la ville de Morocc... Ou du moins ce qu'il restait des portes, il ne restait plus qu'une moitiée de tour à droite et le côté gauche était un cratère béant qui s'étendait sur plusieurs dizaines de mètres. Son faucon faisait des gestes brusques au dessus de la jeune archère, comme s'il voulait l'avertir de quelquechose, mais Xenosis n'y prêtait guère attention et observait les remparts complètement détruits etl cité désatreuse qui s'avançait devant elle. Elle posa sa main sur son arc, prête à le sortir, sachant que le village était le repaire d'assassins et de voleurs, si il était détruit, les risques étaient encore plus grands puisque les survivants vivaient en anarchie. Elle commenca à avancer pui s'arrêta net, quelquechose ou quelqu'un venait de la stopper dans son élan, quelquechose qu'elle ne connaissait pas... Sentant comme un froid sur sa gorge, elle ne bougeait plus, pétrifiée de peur, les yeux écarquillés, elle n'arrivait pas à récupérer son arc...

Comme à son habitude, le KageNeko quitta l'enceinte des ruines pour aller errer dans le désert. Mais pour cela, encore fallait il franchir les remparts du village, evidemment, c'était chose facile car la ville était dans une espèce d'Anarchie depuis la naissance de ce cratère au beau milieu de la ville. Croquant à pleine dent dans sa pomme, le chaton emettait quelques gémissements avant de s'etirer d'un geste nonchalant. Une fois de plus, il n'avait pas dormi de la nuit mais c'était devenu l'un de ses nombreux rituels, tout comme cette ballade. Mais voila une scène étrange qui s'offre à ses yeux, une jeune femme était pétrifiée de peur non loin des portes de la ville. La curiosité est un vilain défaut, et pourtant cela ne l'empechera pas d'aller voir de plus près ce qui menaçait cette demoiselle. L'attraction, la distraction et surtout l'intrigue planait plus sur le volatile que sur la jeune femme à vrai dire.

Lui qui n'avait jamais vu de faucon d'aussi près gambada rapidement en dessous du volatile pour essayer de l'attraper malgré la hauteur. Bond après bond, le Neko ne renonce pas dans cette haute voltige, délaissant completement l'archère à son triste sort. Des plaintes de frustrations se font entendre alors que le Neko cesse brusquement de bondir, ce qui laisse un peu de répit au moineau dans les airs. Son attention bascule maintenant sur l'archère qui semble toujours paralysée. D'un pas de félin, méfiant et prudent, il s'approche de la jeune femme, miaulant sans cesse sous l'intimidation.

Étant cacher dans le sol Killua senti les vibration des pas de la jeune fille
après quelque mètre killua sortie du sol et l'arrêta dans sont élan sans ce faire reconnaître, tenant sont katana (celestine)froid sous la gorge de la fille
killua avait l'impression de l'avoir déjà vu quelque part

"Qui est tu et que cherche tu donc ici"

Au moment ou la jeune fille aller répondre un chat s'avança doucement
tout en miaulant sans cesse sous l'intimidation

Killua:
"c'est qui ce chat il est avec toi?"

la jeune fille répondit
"non je ne le connais pas"

Killua :
"Toi la bas ne t'approche pas fait un pas de plus et elle moura "
"Et tu sera le prochain sur la liste"

Pouvait on jouer la carte de l'innoncence du chaton sans défense ? Sans doute, et c'est ce que le Neko s'empressa de faire, miaulant de plus belle en passant dans les aigues fort dérangeant pour les petites oreilles humaines. Voila que le chaton penche légèrement sa tête sur le coté, scrutant l'individu qui visiblement lui adresser la parole. La tête du félin se penche dans l'autre sens comme pour exprimer une incompréhension de la langue humaine. Or, cela n'était pas le cas, le Neko connaissait ou du moins savait décrypter ce langage si particulier qu'ont les humains.

Sentant une attitude hostile, le chat sortit ses griffes, son instinct de chasseur s'éveillait, il n'était plus question de jeu comme avec l'oiseau mais bel et bien de survie. Et Dieu sait à quel point, l'instinct de survie des félins était particulièrement developpé. Le chat, planté sur ses pattes arrières, prêt à bondir en avant dans un geste rapide et agile, montrait ses petites quenottes si mignonnes et à la fois innofensives. Tuer un animal aussi mignon ? Cela serait preuve de barbarie et de cruauté alors que l'animal n'avait strictement rien demandé.

Profitant de l'innatention de l'homme, pendant un bref instant, elle appuya sur le bas de son carquois qui fit monter une flèche à toute vitesse se planter dans le bras droit de l'homme et le transperçer. Puis elle s'abaissa et fit un bond sur le côté en tenant son arc visé vers les deux personnes, à compte que l'on puisse appeller l'homme-chat une personne, avec deux flèches dans chaque directions.

"Je viens visiter Morocc après une rumeur que j'ai eue, j'était simplement venue la vérifier... On est toujours aussi mal accueillis ici ?.."

Elle se releva avec l'arc toujours ciblé, puis haussa les épaules en regardant les deux personnes.

"Je vois pas l'intérêt de me battre contre vous sans motifs."

Elle rangea son arc et ses flèches, puis se tourna et avanca vers la ville de Morocc, plus précisément vers le cratère béant qui était au milieu de la ville. Elle avançait, son faucon très haut pour éviter toute autre agression, puis... survint une secousse sismique d'une violence redoutable. Le sol tremblait sous les pieds de la jeune snipeuse, bientôt, une fissure se fit et le sol tomba en morceaux en dessous d'elle, dans un vide infini, alors qu'elle essayait de s'accrocher sur les bords de la fissure pour ne pas tomber, la jeune archère finit par lâcher prise et ferma les yeux.

"Aaaaah..."

Elle ne voyait que le vide noir et les parois du sol défilées devant ses yeux écarquillés. Puis d'un coup, la descente s'arrêta, les parois défilaient dans l'autre sens à une vitesse inouïe, comme tirée par le haut, Xenosis regarda qui la tenait et vit son faucon la ramener à la surface en évitant les rochers qui tombaient petit à petit. La secousse ne s'arrêtait pas, même lorsque Xenosis fut hors d'atteinte à plus de 10 mètres du sol et que le faucon la tenait toujours en l'air, la secousse ravageait de plus en plus la ville déjà désolante..